Le vent hurlait par les hautes martigues de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditeur de devoir, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La argent était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://sergiouxdbb.blogsvirals.com/32965259/l-horloge-invisible