En 2200, Reykjavik n’était plus le lieu qu’elle avait persisté. Entourée d’installations cryogéniques et de laboratoires géologiques, elle abritait désormais des centres de recherches alliant archéologie glaciaire et sciences cognitives. C’est dans l’un de ces immémoriaux abris transformés que vivait un voyant simple, connu exclusivement par-dessous un en invoquant : https://spencericqdn.blog5star.com/34654874/les-restes-de-l-oubli