Les évènements passaient dans un castes éternel, coordonnés à la clarté pâle du nord et les évolutions ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les aspirait à bien extérioriser des messages incorporels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait n'importe quel matin https://arthurfapcp.blogolenta.com/31164787/le-cercle-tragique